Allergie alimentaire aux fruits à coque, symptome (s)

Allergie alimentaire aux fruits à coque, symptome...
Il s'agit d'une allergie alimentaire (et symptome allant avec) qui est très répandue: celle aux noix, noix de pécan, noix de cajou, pistaches.

Tous ces fruits à coque viennent des arbres (au contraire des cacahuètes qui poussent en grappes sous terre, un peu à la façon de minuscules pomme-de-terre).

Allergie alimentaire aux fruits à coque, symptome (s) :
Il(s) se manifeste(nt) après quelques secondes, le plus souvent après quelques minutes, ou 2 à 3 heures après avoir mangé cet aliment allergène. Mais aussi après l'avoir inhalé (lorsqu'il cuit), ou en étant en contact cutané (là, il peut par exemple provoquer des crises d'urticaires).
Dans un premier temps, cette allergie alimentaire peut provoquer un ou des symptome (s) comme:
- un picotement
- et/ou un gonflement de la langue, des lèvres, des paupières...
- donner de l'urticaire, des boutons, de l'eczéma, des rougeurs...


Un mal de tête est possible...
- provoquer un mal de tête, des crampes abdominales, de la diarrhée, des nausées, des vomissements...
- et même amener à des troubles de la respiration (respiration bruyante), parfois de l'asthme etc.
Cette allergie alimentaire, et le(s) symptome (s) allant avec, peut être une des plus graves, avec une possibilité d'oedème du larynx ou de chocs anaphylactiques.
C'est pourquoi il est essentiel d'intervenir très vite pour la contrer efficacement.

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Pour contrer l'allergie alimentaire aux fruits à coque et son ou ses symptome (s), voici ce qu'il faut faire:

- Consulter au plus vite un médecin, un immuno-allergologue ou l'hôpital, avant que la situation n'empire. Il est très important d'avoir un suivi médical sérieux.
 
- Plus tard, il faudra affiner encore ce suivi avec des tests cutanés et, si besoin, également avec une prise de sang. Il s'agit de déterminer précisément ce qui peut vous rendre allergique.
7 trucs pour éviter cette allergie alimentaire et symptome (s) allant avec (quand évidemment, vous savez que vous en avez une)...
1 - Ne consommez plus l'aliment déclencheur de l'allergie, c'est la priorité. On appelle cela l'éviction alimentaire.
 
2 - Lisez bien les étiquettes de ce que vous mangez. En effet, il peut-être écrit :
« huile végétale, matière grasse végétale, cacahuète... ». S'il y a l'aliment qui vous rend allergique, alors n'en consommez pas.

Il faut bien lire les étiquettes:
on y apprend un tas de choses...
3 - Moins grave: lorsqu'il est mentionné sur les étiquettes et emballages « risque de traces de noix, noisettes, cacahuètes... » c'est que la fabrique peut utiliser ces aliments dans ses chaînes de productions seulement. En général, comme ces aliments ne sont pas inclus normalement dans la recette, il y a très peu de chance d'en trouver et certains médecins n'interdisent pas d'en manger.

Mais bon, le risque d'une allergie alimentaire et l'apparition d'un symptome n'est pas à écarter...
Voyez ce qu'en pense votre propre médecin.
Soyez rassuré: les normes européennes contraignent les fabricants à indiquer les présences d'allergène possibles, dans les aliments qu'ils transforment.
4 - Faites attention au restaurant. Expliquez brièvement votre problème au restaurateur.
 
Demandez précisément ce qu'il y a dans le plat que vous souhaitez commander.
Et n'hésitez pas à prendre un autre plat si l'allergène est présent.
5 - Si vous êtes invité chez des collègues, des amis, des proches, faites part de votre allergie alimentaire et symptome (s) (quitte à le répéter à chaque fois) pour éviter des soucis.
6 - Ayez toujours avec vous (où que vous alliez) l'éventuelle trousse d'urgence prescrite par votre médecin, qui comporte en général :
  • 
    Ne pas oublier la trousse d'urgence...
    une seringue d'adrénaline auto-injectable (parfois sous forme de stylo), ou une ampoule à casser sur un sucre et à faire fondre sous la langue.
  • voir un médicament broncho-dilatateur.
  • un médicament antihistaminique.
  • un médicament corticoïde.
7 - Pour ne pas aggraver vos réactions en cas d'allergie alimentaire et l'accentuation du symptome, évitez de prendre de l'aspirine ou un anti-inflammatoire (AINS) avant le repas. Voyez avec votre médecin allergologue ce qu'il en pense car chaque cas est différent, selon votre santé, votre traitement, votre âge, etc.

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